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      por Autor:
     
  •  Tombs, Robert
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      por Título:
     
  •  La révolte anglaise ...
  •  
     
     
    La révolte anglaise : Brexit, euroscepticisme et avenir du Royaume-Uni / Robert Tombs
     
    AUTOR(ES): 
    Tombs, Robert
    IN: 
    Le débat . ISSN0246-2346 . Paris : Gallimard, No 193 (jan.-févr. 2017) , p. 129-136
    RESUMO: 
    Les électeurs anglais ont conduit – d’aucuns diraient « poussé » – le Royaume-Uni vers la sortie de l’Union européenne. Était-ce une révolte anglaise, l’aboutissement de la montée, sur plusieurs décennies, d’un sentiment d’identité anglaise plus affirmé, voire chargé de ressentiment ? Sur un plan, cela ne fait aucun doute. Des enquêtes montrent que les individus qui ont tendance à se dire « anglais », et les régions où cela est courant, étaient plus enclins à voter Leave. Parmi ces régions, il en est de déshéritées, où une population marginalisée pense que sa voix a plus de chances d’être entendue dans une démocratie nationale que dans un bloc commercial international, et pour qui le patriotisme est une source d’amour-propre. Mais considérer le Leave comme une réaction essentiellement anglaise n’aurait de sens que si le malaise à l’égard de l’ue se cantonnait à l’Angleterre ou était spécifiquement lié aux sentiments d’anglicité. En réalité, les opinions négatives sur l’ue, et surtout sur sa politique économique, sont désormais plus répandues dans plusieurs pays qu’elles ne le sont en Angleterre. En juin 2016, les sondages du Pew Research Center ont montré que le désaveu de l’ue était aussi prononcé en Allemagne et aux Pays-Bas qu’en Grande-Bretagne, et plus marqué en Espagne, en France et en Grèce. Si le krach de 2007-2008 et les politiques d’austérité imposées l’ont aggravé, le déclin du soutien populaire était déjà patent. En France, le référendum de mai 2005 s’était soldé par 55 % de « non » au projet de Constitution européenne après un débat public approfondi, tandis que s’affirmait un modèle désormais familier : l’européanisme fervent se limitait aux banlieues et quartiers les plus riches de Paris, et les seuls groupes professionnels à avoir voté largement « oui » étaient ceux des grandes [da Obra]
    ASSUNTOS: 
    Reino Unidointegração europeiaeuroceticismoretirada da UE
    COTA: 
    RE-285
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